Domenico Scalise |
Ma Vie / My Life / Mia Vita |
2 août 1950 Quand on ne sait pas par
ou commencer, on commence par le début ! Le plus loin que je peux me souvenir c'est mon enfance avant 4 ans ou je me rappelle que j’étais couché dans une "culla" (une couchette de bébé berçante en bois fabriquée par des artisans du village). Ma mère m'avait probablement posé à l'extérieur de la maison de mon grand-père et à l'abri du soleil pendant qu'elle et tout le reste de la famille vaguaient à leur occupation dans les champs. Je me souviens de mon oncle Ciccio (Francesco Mazza) est venu tuer le serpent qui s'approchait de moi, ou je savourais un biberon de lait. Tout le monde criait et remerciait, je ne sais pas qui, que ce fameux serpent ne m'ait pas fait de mal. Puis il y a eu la mort de mon arrière-grand-père Francesco Mazza (surnommé "Cinanca"), c'était durant la nuit qu'on le transportait dans une charrette tirée par 2 chevaux. Il habitait la maison qu'il avait construit et y avait élevé ses huit enfants. Mon grand-père Giuseppe Mazza étant le plus vieux de la famille de huit enfants avait la charge à veiller sur tout. Il a construit sa maison à peine 1 Km vers le nord de mon arrière-grand-père. On a décidé de m'emmener aussi pour le voyage pour son dernier repos. Nous avons emprunté le chemin de fortune que la famille Mazza avait fait défricher en campagne. Je vois encore mon arrière-grand-père allongé et recouvert d'une couverte de laine et qui ne cessait de répéter j'ai soif. Je ne crois que personne avait pensé à amener une gourde ou une bouteille d'eau pour le trajet d'une dizaine de kilomètres nous menant au village. Il mourut quelques centaines de pieds avant de rentrer au village. Aussi loin que je puisse me rémémorer, c'est que nous ne portions pas de souliers. On marchait nu pieds dans les champs et dans la forêt mixte de châtaignes, chênes et peupliers, alors parfois les épines d'écailles de vielles châtaignes nous piquaient le dessous des pieds. Quelque fois le dimanche ou les jours de fêtes ma mère nous faisait porter les plus beaux souliers à moi et mon petit frère de 2 ans mon cadet. Mon père venait de la région de San Pietro Apostolo et ma mère de Carlopoli ils se sont épousés en 1946. Mon père travaillait pour mon grand-père maternel. Je suis né en janvier 1948 un peu après la fin de la guerre mondiale de 1942. À cette époque l'Italie était très pauvre. Mon grand-père ne faisait que répéter que la terre était riche par contre. Je me souviens que grand-père avait quelques employés et il m’étonnait. Une fois mon père m'avait emmené avec lui et je vois encore aujourd'hui la scene ou on traversait des billots de bois d'une montagne à l'autre avec un téléphérique artisanal imaginée par grand-père. Des jours mon grand-père paternel Domenico Antonio Scalise (appelé communément "Micantoni") venait me chercher aux Vignes de Carlopoli et m'emmenait sur son dos jusqu’a sa campagne qui s'appelle Cardilla. Le trajet pouvait durer de 2 à 3 heures Il devait escalader et redescendre au moins 2 montagnes dans des sentiers que même les ânes avaient de la difficulté à passer. Imaginez-vous que ça lui avait pris le même temps pour venir me chercher aussi. Je demeurais avec les 4 soeurs de mon père et ainsi que ma grand-mère Carmela Mazza pour quelques jours puis il refaisait le trajet. Tout cela se passait entre les années 1951 et 1953 lorsque mon père avait émigré à Montréal ou il y travaillait afin de gagner des sous pour pouvoir nous faire venir avec ma mère. Une aventure qui me hantait était celle d'un mouton noir qui me poussait le bas de la montagne à chaque fois que j'allais vers le troupeau de chèvres et mouton. Je pleurais à chaque fois que je recevais ses coups. Quels beaux souvenirs de la confection de la soie qui était pratiquée par plusieurs à cette époque. C'était la récolte des vers à soie qui ne mangeaient qu'un type de feuille d'arbre, un mûrier sauvage qui teintait les lèvres lorsqu’on mangeait ce fruit, qui avait une couleur mauve d'une saveur exquise et de bonne grosseur. Les femmes de la maison faisaient enrober le vers à soie dans les feuilles de cet arbre qui devenait un cocon. Dans un panier d'une grandeur à peu près de 4 pieds par 8 pieds il pouvait y contenir de 200 à 300 vers à soie. On rangeait tout ça dans le grenier. Lorsque le cocon était à maturité on filait la soie pour ensuite la tisser. Je me souviens encore que les dames de la maison qui devaient déambuler la montagne pour porter le linge vers la rivière afin de le laver sur une roche typique. Ou bien elle devaient battre une certaine plante nommée "la glinostra" en la trempant dans l'eau souvent puis l'amincir en donnant de gros coups sur une grande roche. On en confectionnait des vêtements robustes ou des sacs de récolte. Il y avait les récoltes ou tout le monde travaillait ensemble. Les propriétaires des terres voisines s'entraidaient. La machinerie que mon grand-père savait sagement se procurer servait pour tous. Les femmes préparaient le manger pour les travailleurs et portaient le repas dans le champ. À la fin des récoltes c'était la fête, tout le monde se réunissait dans "l'aria" (espace de béton armé d'une bonne grandeur pour aérer soit le blé ou autres récoltes). On y chantait et dansait. Je me souviens une fois de mon oncle Ciccio qui avait inséré une vielle tante dans un sac de récolte en rigolant. Dans la campagne ou nous vivions à cette époque il n’y avait presque jamais de neige mais quand il y en tombait, ils faisaient bouillir des extraits de raisins fermentés et on le mélangeait avec la neige toute blanche. On raffolait de ça. on nommait ça "la scirubetta" Durant cette même période on tuait le cochon pour en faire des provisions pour l'année. Les saucisses calabrese, le prosciutto, le salami et la "gelatina" étaient parmi les viandes plus populaires. Je ne sais pas si c'est parce que j'avais 2 ou 3 ans à l'époque mais il me semble que le cochon était bien plus gros que ceux que je vois aujourd'hui. On le ligotait et on le pendait sur une fourche. Je ne Finalement on l'ébouillantait et avec un rasoir on lui coupait les poils sur le corps, enfin on l'éventrait. On faisait aussi bouillir le sang pour le manger sur le champ. On faisait aussi rotir la cervelle qui n’était pas méchant non plus. De temps en temps, ma grand-mère maternelle Francesca Mazza (Tomaino) avait des migraines. Quelques vielles dames venaient à la campagne pour la soigner. Je vois encore un très gros vers brunâtre trempé dans un bocal de 4 litres de liquide, être placé sur le front de ma grand-mère. Cela pouvait durer des heures. Je crois que c'était une sangsue, dans le dialecte on l'appelait "u verme". Mon arrière-grand-mère maternelle Raffaela Sirianni qui avait marié Giuseppe Antonio Tomaino surnommé "Ribellu" était ma gardienne. Nous avions une porte d'entrée qui était divisée en deux, le haut et le bas, je crois que cela servait pour que les animaux ne rentrent pas dans la maison. Le foyer était dessous le comptoir de la cuisine et qui servait de poêle à manger. Quelques fois grand-père patentait un radio avec une batterie. Nous n'avions aucune alimentation d'électricité et les lampes à l'huile étaient d'usage courant. De toute façon quand il faisait nuit tous allaient se coucher sauf les vielles grands-mères qui restaient près du feu à discuter un peu. Nous avions suffisamment à manger et même plus avec tous les arbres fruitiers, les récoltes, les animaux de la campagnes et aussi les vignes. Une fois je me rappelle que je me suis couché dessous un des gros barils de plus d'une tonne, que mon grand-père avait confectionné et j’ai ingurgité les gouttes de vins qui s'écoulaient. Mon père avait suivi la vague d'immigrants qui voulaient entrer au Canada dans les années 50. Il fut accepté et émigra à Montréal (quartier St-Michel) en 1951 avec quelques autres membres de la famille Mazza. Nous avons demeuré chez mon grand-père maternel pour les deux ans en attendant que mon père nous fait venir au Canada en 1953. Les dernières années à la campagne sont vagues dans ma mémoire. Les préparatifs pour l'immigration étaient lourds pour grand-père et grand-mère soit paternelle ou maternelle. Il y a eu les séances des photos de passeports et les photos de souvenir, la vaccination dont je porte encore les marques. Les adieux prolongés pour l'aventure au sol canadien. Mon grand-père qui nous accompagnait en train de la Calabria à Napoli. Puis ce fut l'embarcation dans un immense navire dont je me rappelle encore le nom " Le Conte BiancaMano" Nous avons embarqué sur le pont avec une autre dame Calabrese avec ses 2 enfants une dénommé Scalzo. Pour moi et mon petit frère c'était le bonheur cette aventure de 8 huit jours passés en haute mer. Notre pauvre mère à souffert du mal de mer durant tout le trajet. Nous jouions avec le deux enfants de la dame de Cicala tout le temps. Nous avons par contre brisé des items de notre cabine et je vois encore ma mère payer le serveur de notre aile pour tout le dommage que nous ayons fait, je crois que c'était aux alentours de $20.00 l'économie de 6 mois de travail en ce moment là. Je ne me souviens pas d'avoir pris le train de Halifax à Montréal, d'où mon père nous y attendait. Par contre je me souviens de monter l'escalier du 2ième étage de la rue Garnier près de St-Zotique. Il y avait 6 ou 7 personnes qui vivaient dans cet appartement là en attendant que 2 des mes oncles finissent de construire une maison sur la rue Papineau près de Beaubien. Bien sur la majorité était de la parenté directe mais 3 d'entre eux étaient des parents de loin qui venaient du même village que mon père. Moi et mon petit
frère avons vu beaucoup de pièces d’une cent près d'un téléphone noir
sur une petite table et on a voulu les prendre. Puis un de mes oncles
m'a réprimandé en me disant qu’à chaque fois que les hommes voulaient
téléphoner, ils devaient déposer un sous près du téléphone pour en
payer la facture. |
À suivre |
Plus tard dans le temps Et puis ce qui ne devait pas arriver... arriva |
La
Société de l’assurance automobile du Québec représentée par Claude
Gélinas (Avocat) Directeur de la direction du secrétariat et des
affaires juridiques en complicité avec la Commission des affaires
sociales (aujourd’hui nommé le Tribunal Administratif du Québec ont
dérobé mon fonds de pension. |
Mon histoire du 6 février 1989 au 26 janvier 2002
Accidenté : Domenico Scalise |
Malheureusement, au lieu de ralentir et freiner son élan le cammioneur, de 15 ans d'expérience, à continué sa course au moment même que la circulation devint stagnante dans la voie du centre. En conséquence il heurta violemment, à plus de 80km heure, l'arrière de mon petit camion de service Toyota (pick-up) que j'avais immobilisé dans cette voie du centre, vu qu'il n y avait plus aucun débit de circulation. J'ai perdu plusieurs minutes de cet événement lors de cet impact car je n'ai jamais pensé qu'un autre véhicule pouvait frapper par derrière un autre véhicule immobilisé pour des raisons de congestion. Pendant les années qui s'en suivirent, mon existence devint un cauchemar dû à cette dure épreuve inattendue. Les séquelles que j'y ai subies sont d'ordre permanentes. Aucune récupération n'est possible et l'aggravation est dégénérative. Je me suis isolé pour une période assez longue et si ce ne fût de mes proches je serais aujourd'hui encore désintéressé de la réalité. Ce n'est que le 22 juin 1994 lors d'une audition à la CAS que j'ai compris la connivence entre la Société de l'assurance de la route et la Commission des Affaires Sociales (Qui est devenu par la suite le Tribunal Administratif du Québec) Au départ cette audition devait avoir lieu à une date antérieure et j'ai communiqué tous les documents nécessaires à la Commission des affaires sociales dans les délais prévus au moins 15 jours avant. Surtout le rapport médical du Docteur Roch Banville de la FATA. (Fonds d'aide au accidentés et accidentées du travail du Québec qui fut fondé par le syndicaliste Michel Chartrand et Roch Banville) Nous recevons 2 jours avant cette audition un requête de la part de la CAS de reporter l'audition avec le motif falsifié que je n'avais pas produit les documents dans délais prescrits par la loi. J'ai essayé de contester cette pratique car tout avait été fait dans les normes de la loi. Par contre mon procureur de l'époque avait accepté ce rapport et il me dit que nous ne pouvons pas rien faire. (ce fut ma premier constat des pratiques déloyales utilisées pour gonfler les coffres remplis de la SAAQ afin de retourner certaines sommes aux fonds consolidé de la province) Suite à ce la SAAQ à produit un rapport d'évaluation du Docteur Jean-Marie Lévesque (qui plus tard est devenu un employé permanent de la SAAQ) Ce docteur ne m'a jamais examiné physiquement et il ne m'a jamais demandé de me voir ou m'examiner. Finalement l'audition fut tenue le 22 juin 1994 avec la présence de mon médecin traitant le Docteur Roch Banville. Cette audition devant la Commission des affaires Sociales avait pour but de réunir 4 causes contestée ci dessus mentionnées.
1.
Dossier AA-56577:
la fin de l'indemnité de
remplacement de mon revenu le 16 juin 1989 soit 4 mois apres mon
accident. (On m’avait remis une somme de 1000.00 $
par mois soit le revenu d'une famille sur le BienÊtre social. Même si
donnais aux alentours de 50,000.00 $ par année aux différents paliers
gouvernementaux, soit au provincial le fédéral et le municipal, car
j'étais propriétaire d'un portefeuille immobilier de plus de 4,
000,000.00 $, en plus d'être un Courtier en immeuble licencié par la
gouvernement du Québec avec 4 employés à charge, et, Gestionnaire en
immeubles pour les tiers.)
2.
Dossier AA-57509:
Refusant le remboursement des frais de traitement de physiothérapie pour
la période comprise entre le 10 et le 20 avril 1990. (on
arrive ici un peu plus d'un an après l'accident du 6 février 1989 et
j'ai encore des douleurs persistantes)
3.
Dossier AA-57510: Une
déclaration de la
SAAQ me déclarant non porteur d'aucune séquelle permanente à la suite de
l'accident automobile. (Je
vous suggère de lire plus bas afin de connaître les vraies séquelles
subies lors de l’accident du 6 février 1989)
Je dois pas vous cacher que durant la journée ce simili procès nous à semblé une aberration. On à menacé le Docteur Banville de l'expulser de la salle d'audition par contre le docteur Jean-Marie Lévesque n'était même pas présent. La Commission des affaires Sociales dans son jugement à vanté les mérites d'un médecin qui ne m'a jamais rencontré et à rejeté le rapport médical du Docteur Banville qui m'a examiné à quelques reprises. Inutile de vous dire que ces 4 dossiers furent rejetés par Me Élaine Joly Ryan et du Docteur Francois Brunet. Le pire de cette décision on mentionne que ma condition est changeante (en voulant insinuer que je mentais) mais tous les médecins que la SAAQ à utilisé pour m'examiner physiquement ont décrit dans leur rapport que j'avais de difficultés suit à l'accident de la route de 1989. On à retenu le rapport de synthèse écrit à la hâte par un médecin qui ne m'a jamais examiné physiquement. Voilà que "ma supposée condition" changeante prends une tournure différente vers le mois de novembre 1994. Un docteur que j'ai consulté suite aux malaises persistants m'annonce que je suis porteur du syndrome de la fibromyalgie. "Hein C'est quoi ça" Il me touche sur tous les points gâchettes et je fais des sauts à chaque fois. Je crois qu'il m'a fait sursauter 13 fois. De son propre chef il envoi une lettre à la SAAQ lui expliquant que je suis porteur de la fibromyalgie leur expliquant que c'est une aggravation et une condition dégénérative causée par l'accident de la route du 6 février 1989. Il me fournit la documentation comment apaiser mes douleurs. Il me recommande à rencontrer un rhumatologue. Enfin il me demande de me renseigner sur la fibromyalgie. Faut vous expliquer à ce stade ci que l'Organisation Mondiale de la Santé avait fait reconnaître la fibromyalgie comme une maladie réelle en 1993 (mais à ce moment là je ne savais pas ça). Par la suite, en 1996, le collège des médecins du Québec a recommandé à leurs membres de reconnaître les syndromes de la fibromyalgie comme une maladie dégénérative. Avec les ans j'ai appris à vivre avec cette condition; je suis chanceux j'ai une bonne famille, de bons enfants qui ont toléré dans mes moments de crise, une conjointe qui m'a supporté et à toujours veillé à mes besoins à n’importe quelle heure de la journée, mon père et ma mère qui m'ont supporté monétairement afin que je donne l'essentiel à mes enfants, des beaux parents qui ont apporté les ressources nécessaires à l'éducation de mes enfants. Entre temps avec l'aide d’un procureur j'ai demandé à la SAAQ et au TAQ de revoir la décision qui m'a rendu inapte à certaines tâches causées par l'accident d'automobile du 6 février 1989. La réponse de la SAAQ en révision le 27 février 1996 fut que les rapports médicaux produits ne font pas la démonstration objective d'une aggravation de ma condition et on mentionne l'article 68 de la Loi (la fibromyalgie est dégénérative et n'était pas diagnostiquée lors de mon audition à la Cas le 22 juin 1994) Pourtant l'article 68 de la Loi de l'assurance automobile du Québec set lit ainsi :
On prétends à la SAAQ avec une grande publicité que le dossier d'un accidenté de la route est toujours ouvert (dans mon raisonnement ce n'est que pour bien paraître, je vous expliquerai plus bas du seul dossier qui à été rouvert par notre association). Au Tribunal Administratif du Québec c'est le même scénario. (À SUIVRE ) La preuve de la manigance bureaucratique |
LA FONDATION DE L'ASSOCIATION ARRL ET PLUS TARD AARQ DE 1993 À AUJOURD'HUI |
Immédiatement
nous avons formé cette association qui vient en aide Notre moyen
d'aide se fait lors de nos rencontres et réunions avec les membres
accidentés; nous ciblons
les problèmes et passons à l'action pour que leur dignité et leur intégrité
ne soit atteinte. En quelque sorte, un genre de protecteur du citoyen en matière d'assurance
automobile. En peu de
temps les autorités compétentes ont redouté notre organisation et
nous ont invité à une table de travail afin d'améliorer Comme vous le
savez au Québec nous avons la situation du <no fault> Nous estimons
aujourd'hui à 40,000 familles vivant de prestations d'aide
sociale suite à leur accident de la route, mais avant leur épreuve ils ou elles
gagnaient leurs vies honorablement , sans l'aide du gouvernement.
Notre mission
est d'essayer dans notre région de faire réadapter le plus grand
nombre de personnes qui ont subi un accident de la route Mais le
meilleur remède est la prévention, donc nous participons La tâche est
d'envergure et nous savons que dans dix ans nous serons encore là
malheureusement. Les
accidents de la route occasionnent annuellement en moyenne,
36000 blessées au Québec, y compris 5000 blessés très graves. Dans notre région
ce triste bilan fait 1896 blessés nécessitant une intervention
chirurgicale, 358 blessés très graves et 59 morts par an, sans
mentionner les autres 7500 accidents qui ne comptent que des dommages
matériels. En ce qui
attrait au services que nous offrons, c'est l'appui que Notre rôle
n'est ni plus ni moins un rôle social que la SAAQ devrait offrir à tous
les accidentés de la route selon son mandat. Pour nous
encourager et permettre notre association de s'épanouir Malheureusement
nous ne pouvons recevoir tous les accidenté(es) de Étant donné
que seulement 30% des accidenté(es) de la route sont Moi même,
avant mon accident, je fournissais au moins $50,000 par an sous forme de
taxes aux différents paliers gouvernementaux. Aujourd'hui je suis condamné à vivre de prestations de revenu garanti (sous toutes réserves) Un accident de
la route n'a aucune rentabilité au plan social, mais La plus grande
richesse naturelle de notre univers par contre c'est l'être humain,
sans lui aucune continuité est possible. Nous devons
donc augmenter nos efforts en ce sens. C'est
justement notre mandat suite à une interruption inattendue Voilà, cette réponse est longue;
mais nous souhaitons à suivre |
Ce texte est protégé par les lois d'auteur © toute reproduction doit être approuvé par le créateur Domenico Scalise, Ste-Adèle, le 26 janvier de l'an 2002 |
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SCALISE
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Cette page web à été crée par Domenico
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À Ste-Adèle, le 27 mai 1999
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Dernière modification / Updated
/ Aggiornato :
29-01-2002