Domenico Scalise |
CHAMPIGNONS MUSHROOMS FUNGHI |
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Ma Passion / My Passion / Mia Passione |
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J'aime beaucoup l'informatique mais je suis dédié plus à la forêt et à la nature. Leur sous produit qui me passione le plus sont les champignons. La mycologie | I really enjoy the computer industry but I am more enclined to observe our wooded mountains and nature. The product that derives from them that passions me the most are the mushrooms. The mycology | Mi piace tanto l'industria dei computers ma sono piu attirato verso i boschi e la natura. I prodotti che derivano di questi che mi danno una grande passionne sono i funghi. La mycologia. | |
Et dire quand j'étais gamin je ne voulais même les manger. | And to say that when I was a youngster I did not want to eat them. | E dire che quando ero piccolo non ne volevo neanche provare. | |
Vous trouverez ici quelques sites intéressants et quelques recettes préférées dont vous serez ravis. | You will find on this site some intersting links and some recipies that will make your mouth water | Troverete su questo sito dei links interessanti e qualche ricette preferite che daranno un buon apetito. | |
Quand je marche dans la forêt, j'observe énormément la nature autour qui croît dans un environnement presque vierge au Québec dans les Laurentides. Car ou autre au monde nous avons tant de bois, tant d'eau tant de ressources naturelles? Par contre j'observe aussi que nos arbres au haut de nos montagnes sont presque tous morts, on peut les pousser avec nos mains et ils tombent. Pourquoi? . (Certains champignons normalement aident à la décomposition de l'arbre); Je ne suis pas un scientifique mais à première vue si on parle des feuillus j'ai observé que les feuilles mortes avaient une couleur blanchâtre, comme si on les avait trempé dans l'eau de javel. Quand j'ai soulevé ce tas de feuilles mortes (pour regarder s'il y avait des champignons qui seraient commencé à pousser) je me suis aperçu qu'il y en avait comme 5 à six ans de feuilles accumulées et n'avaient pas suivi leur cours normal de décomposition ! Ce qui me porte à croire que ce sol aurait au cours des ans empêché la pénétration de l'eau vers les racines, condamnant l'arbre vers sa mort. Je déduis donc que les pluies acides s'infiltrent dans les feuilles et les rendent contaminées dont la décomposition serait difficile et si on continue de la sorte dans 100 ans il n'y aurait plus de bois. Allez faire un tour en forêt et essayez de monter vers le sommet d'une montagne et vous comprendrez. J'expliquerai plus tard ce phénomène car pour le moment je m'intéresse aux champignons soit pour me donner plus d'indices sur les effets de serres, mais surtout leur valeur médicinale et leur valeur gastronomique. Bonne Promenade |
Will do the translation
shortly
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Faro la traduzione fra
poco tempo
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Mycologie
Mycology Mycologia |
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Cultiver des champignons à la maison / Grow your own mushrooms
Pierre Gingras
collaboration
spéciale, La Presse
Il y a plusieurs
années, j'avais acheté chez W.H. Perron (qui appartenait alors à
l'ontarienne Whiterose) une bûche inoculée de mycélium de champignon
shiitake : 24 $, taxes en sus. Sans résultat. J'en ai finalement acheté
une deuxième, puis une troisième, en me disant qu'au bout du compte, je
finirais bien par avoir une certaine quantité de champignons qui
compenserait le coût de l'expérience. À vrai dire, ce ne fut pas tout à
fait un échec puisque chaque bout de bois a finalement produit... un
champignon. J'aime les shiitakes. Mais pas à ce prix-là. Plus encore, dans
les semaines qui ont suivi, tous les milieux de culture entreposés dans
ma cave ont donné une première, puis une deuxième récolte de
champignons. Le sceptique était confondu. Des champignons originaux
comme les namekos, un pur délice, ou encore ces flammulines jaunes, ou
collybies, un ravissement pour les papilles gustatives, sans oublier les
pleurotes perlés au goût plus raffiné que le pleurote en forme d'huître
que l'on peut acheter en épicerie. Tous ces champignons inusités se
retrouvent habituellement dans les plats des grands restaurants. |
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Petit
guide d'initiation à la mycologie. Longtemps considérée comme une pratique dangereuse, la cueillette des champignons sauvages est devenue un passe-temps en vogue au Québec. Un nombre croissant d'adeptes sillonnent les bois, à la recherche de précieuses morilles, dès que le printemps se pointe le bout du nez. Raymond Archambault, président du Cercle des mycologues de Montréal, qui regroupe à lui seul un millier de membres, a observé l'intérêt accru de la part des babyboomers et de certaines familles pour cette science, au cours des dernières années. «Au même titre que l'observation d'oiseaux, la mycologie est une habilité que l'on développe au fil du temps», fait remarquer ce passionné de la botanique depuis 25 ans. Elle demeure relativement complexe pour qui s'y intéresse de façon approfondie. De prime abord, savoir identifier certains bons champignons n'est pas plus compliqué que de reconnaître des bleuets ou framboises sauvages. Quand on a vu une chanterelle une fois, il est facile de la reconnaître ensuite. Mais on ne cueille pas et on ne mange pas à tout hasard nos trouvailles, aussi appétissantes paraissent-elles paraître pour rehausser l'assiette de nos convives. Première étape pour s'initier à la mycologie: se procurer un guide illustré sur le sujet. Lors de la première excursion, on commencera par tenter de trouver des espèces relativement répandues et simples à reconnaître, à partir de son guide. Mieux vaut concentrer son observation sur quelques sortes de champignons à la fois plutôt que de risquer une intoxication alimentaire. Si l'on veut davantage se familiariser avec les bases de cette pratique de la botanique, on devra toutefois connaître plus d'espèces de champignons. Il faudra apprendre dès lors à examiner attentivement la morphologie du champignon. On pourra compléter son identification en examinant la couleur de sa sporée et en humant son odeur. Attention : certains champignons dangereux sont délicieux. D'autres à l'odeur désagréable sont parfaitement comestibles. Il faut donc être prudent. Idéalement, les nouveaux initiés devraient adhérer à un club de mycologie sérieux pour suivre des cours en la matière et être encadrés dans leur pratique. «Sinon, nous leur recommandons fortement de venir confirmer l'identification de leurs trouvailles au Jardin botanique de Montréal, avant de les consommer, suggère M. Archambault. Cela leur évitera toute complication de santé.» On doit savoir que tous les champignons sauvages ne se mangent pas. Ce n'est pas parce que l'un d'entre eux fait le régal d'un écureuil qu'il est sans danger pour notre santé. Même si quelques espèces nourrissent les animaux, elles peuvent en effet nous empoisonner. De plus, ce ne sont pas tous les champignons sauvages comestibles qui méritent d'être cueillis. Pour cela, on doit se demander si on achèterait un tel spécimen à l'épicerie. Tous les champignons véreux, ramollis ou décolorés devraient aussi rester à leur place. Ils poussent comme des champignonsLes champignons regroupent plus de 150 000 espèces. La majorité d'entre eux sont microscopiques et poussent rapidement. Contrairement à ce que l'on pense, ils ne sont pas des légumes. Ils sont plutôt des cryptogames, une sorte de plantes sans fleurs. Ils ne contiennent aucune chlorophylle qui leur permettrait de fabriquer eux-mêmes leur nourriture par l'intermédiaire du soleil. C'est pourquoi, on les retrouve souvent sur des supports qui les nourrissent comme le bois, l'humus, les racines et les fruits. «Plus ou moins 3000 sortes de champignons sauvages sont présents dans les forêts, champs et parcs du Québec, estime Raymond Archambault. La majorité d'entre eux sont comestibles. Cependant, quelques centaines d'espèces de champignons sauvages peuvent causer des intoxications alimentaires légères, voire mortelles, dans de très rares cas.» Généralement, les sortes de champignons sauvages vont varier en fonction du type de milieu naturel. On retrouve souvent plusieurs lactaires, bolets et chanterelles, dans les forêts de conifères. Les bois de feuillus sont propices aux pleurotes et aux hygrophores. Les bords de chemin conviennent aux morilles, pézizes et coprins, alors que les marasmes, lépiotes et vesses-de-loup sont nombreux dans les champs. Certains pleurotes, armillaires et pézizes s'épanouissent pour leur part sur les arbres et le bois mort. Enfin, on peut mettre la main sur des agarics des trottoirs dans certains parcs de Montréal. À quand la cueillette?L'automne est sans contredit la meilleure saison pour remplir ses paniers de champignons sauvages. «La grande poussée des champignons s'effectue entre la mi-août et la mi-septembre», indique M. Archambault. On peut néanmoins commencer à cueillir des morilles dès que la neige a fini de fondre. On retrouve aussi alors des pézizes aux couleurs vives, des gyromitres ainsi que des coprins, à la base des arbres. Selon M. Archambault, l'été est une mauvaise saison pour pratiquer ce loisir parce que le temps est alors souvent trop sec. Les champignons poussent en effet davantage lors des périodes d'humidité. Le marasme d'oréade abonde néanmoins alors dans les pelouses. Les populaires chanterelles et bolets sont aussi présents dans les forêts de conifères. Et attention: c'est à cette période qu'apparaissent les dangereuses amanites blanches, dont l'amanite vireuse. Puis, arrivent les joies de la cueillette automnale, où presque tous les genres se retrouvent dans les forêts, champs et parcs et s'ajoutent aux nombreux cortinaires, psalliotes, armillaires, lépiotes, tricholomes, coprins et célèbres pleurotes. Il n'est pas rare de retrouver certains champignons jusqu'à l'arrivée des premiers froids de novembre. Pour en savoir plus : www.mycomontreal.qc.ca Les champignons sauvages du Québec, Matthieu Sicard, Yves Lamoureux, FIDES, 1999, 399 pages. Champignons sauvages à découvrir dans le nord-est de l'Amérique, Thierry Bissonnette, Les éditions du Pré-Vert, 2000, 272 pages. |
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Histoire Agaricus campestris / sylvestris Appellations étrangères
Vénéneuse ...Mais ce sont surtout les champignons vénéneux et les personnages reliés à ces meurtres et mystères qui sont surtout passés à l'histoire. Notons quelques grands faits
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Culture Ce sont des végétaux sans racines, sans feuilles, sans fleurs, sans graines et sans chlorophylle qui tirent leur subsistance de matières organiques. Ils se propagent par des spores unicellulaires. |
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Types La
Truffe Chanterelle
et Girolle La
Morille
Amanite
Oronge |
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Quelques Photos Some pictures and description |
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Recettes Recepies Ricette |
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À Ste-Adèle, le 25 juin 2001
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