LES TROIS CAVALIERS

Eh! L'autre jour en m'y promenant, tout le long du rivage (bis)
Dans mon chemin rencontre trois jolis cavaliers
S'en allant voir les filles en vidant les flacons. (bis)

Eh! Où vas-tu Pierre, où vas-tu Jean, voilà minuit qui sonne? (bis)
J'm'en va's voir ma maîtresse qui m'a fait demander
Dans la plus haute chambre, là je m'en va's y parle (bis)

La belle qui n'était pas loin entendit ce discours (bis)
S'est dit au fond d'sa tête empêchez-moi d'aimer
Tous ces amants volages qui vivent en liberté (bis)

En arrivant à la porte trois petits coups je frappe (bis)
Ouvrez-moi donc la porte la belle si vous m'aimez
Je suis en chemise fine en danger d'y geler.

Tu gèleras, tu périras, je n'ouvre pas ma porte (bis)
Je n'ouvre pas ma porte, galant tu t'es vanté
Que j'étais une fille à toutes tes volontés.

Si j'ai parlé, si j'ai mal parlé, la belle c'est pas grand-chose (bis)
J'ai perdu ma maîtresse, c'est d'avoir trop parlé
Jamais ni filles ni femmes ne sauront ma pensée.

Laissons ça là, parlons-en pas, allons vider bouteilles (bis)
Allons vider bouteilles avec tous nos amis
Nous en trouverons bien d'autres qui s'ront bien plus jolies.