MA TANTE ARTHÉMISE

Au jardin de mon père, un oranger lui a (bis)
Qu'est si chargé d'oranges, qu'on croit qu'il en ronpera. Le v'là

REFRAIN
J'aimerai jamais, j'ai le coeur si gai
D'entendr' chanter, branler les cloches
D'un coeur, oh! gai! Tout en train
Les moulins, din, din, les moutons don, don, la bergère Oh! gai!

Qu'est si chargé d'oranges, qu'on croit qu'il en rompera (bis)
Je demande à mon père: "Quand c'qu'on les cueillera?" Le v'là.
REFRAIN

Je demande à mon père: "Quand c'qu'on les cueillera?" (bis)
Mon père me fit répons': "Quand ton ami viendra." Le v'là.
REFRAIN

Mon père me fit répons': "Quand ton ami viendra." (bis)
Les oranges sont mûres, mon ami ne vient pas... Le v'là.
REFRAIN

Les oranges sont mûres, mon ami ne vient pas (bis)
Je cueillis les plus mûr's, laissai les vertes là. Le v'là.
REFRAIN

Je cueillis les plus mûr's, laissai les vertes là. (bis)
J'm'en vas au marché vendre, au marché tout m'y va...Le v'là.
REFRAIN

J'm'en vas au marché vendre, au marché tout m'y va (bis)
Dans mon chemin rencontr' le fils d'un avocat. Le v'là
REFRAIN

Dans mon chemin rencontr' le fils d'un avocat. (bis)
M'en prit une douzain': "Le bonhomm' vous paira." Le v'là
REFRAIN

M'en prit une douzain': "Le bonhomm' vous paira." (bis)
Je mont' trois quatre étages, le bonhomme y était pas. Le v'là
REFRAIN

Je mont' trois quatre étages, le bonhomme y était pas. (bis)
Au diables les oranges et tous les avocats. Le v'là
REFRAIN